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À propos de Babelle

Pour en savoir plus sur Isabelle, la fondatrice et gérante de Babelle Traduction & Cie,
c’est par ici !

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L'histoire de Babelle

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Mon nom est Isabelle et je vis en Suisse, à Nyon.

Je suis titulaire d’un Bachelor en littérature et linguistique anglaise et italienne et d’un Master en traduction spécialisée de la Faculté de traduction et d’interprétation de l’Université de Genève.

 

L’apprentissage des langues a très rapidement marqué ma jeunesse et mon parcours académique.
Petite, nous nous rendions plusieurs fois par an en Croatie, d’où ma famille est originaire. En traversant l’Italie, j’entendais mon père « baragouiner » des mots en italien pour tenter de se faire comprendre au péage, au restaurant, à la station-service… Alors dès que la possibilité d’apprendre l’italien s’est présentée, je l’ai bien entendu saisie. Ce que j’ai découvert durant ces cours, c’est qu’apprendre une langue va bien au-delà de simples mots : une langue s’inscrit dans un contexte, et pour la maîtriser, il est indispensable de s’intéresser à la culture du pays, à son histoire, sa géographie, et aux us et coutumes de sa population.
Et même si j’avais commencé à apprendre l’anglais et l’allemand bien avant, déjà à l’âge de huit ans, c’est lors de mes cours d’italien que j’ai développé une passion pour la culture, l’histoire, la lecture, le voyage et, bien entendu, l’apprentissage des langues.
L’allemand et l’anglais à huit ans, l’italien à partir de douze ans, le russe à seize ans, l’espagnol « sur le tas » lors d’un voyage de trois mois au Mexique… et j’espère bien d’autres langues encore au gré de mes prochaines aventures !

 

L’envie de devenir traductrice a commencé à m’habiter plus ou moins à l’âge de treize ans. Sans réellement connaître toutes les facettes de cette profession, j’ai ainsi orienté toute ma scolarité autour de cet objectif. J’ai d’abord poursuivi des études littéraires en anglais et italien pour assouvir ma passion pour la lecture, la linguistique et la culture, puis je me suis dirigée vers un Master de traduction.
Mon diplôme en poche en 2017, je fais comme beaucoup de jeunes dans ma situation : j’accepte un poste qui n’a pas réellement de lien avec ma formation, mais avec l’intention de chercher un autre travail en parallèle. Ce qui devait être provisoire - un poste dans un département organisant des séjours médicaux pour des patients étrangers VIP dans une clinique privée - se transforme en tourbillon d’expériences et d’apprentissages qui aura duré deux ans. J’y apprends à être orientée client, réactive, avenante et patiente, à communiquer avec des personnes de tous les horizons, tout cela pour satisfaire au mieux les demandes d’une clientèle (ou « patientèle », comme on dit en Suisse) exigeante. Le secteur du service (couplé à la médecine) me plaît et je m’y épanouis, mais la frustration de ne pas travailler dans ma branche commence à m’envahir.

 

C’est ainsi qu’en 2019, je démissionne afin de me lancer en tant que traductrice indépendante. Je prends un poste à temps partiel à la télévision suisse, où je m’occupe du sous-titrage en direct pour sourds et malentendants. Une nouvelle expérience qui m’apprend les conventions en matière de sous-titrage, mais surtout à garder mon sang froid, à utiliser un logiciel de reconnaissance vocale, écouter, lire, corriger, envoyer le sous-titre à l’écran… et tout cela en quelques secondes !

Puis, en 2020, je deviens indépendante à cent pour cent. La liberté qui accompagne ce statut me procure un sentiment indescriptible. Mais ce que je préfère est la gratitude que je ressens au quotidien : chaque nouveau mandat est un cadeau, puisqu’il me permet de continuer de vivre de ma passion.
J’ai la chance de collaborer avec des fondations, des organisations multilingues et des sociétés privées actives dans des domaines qui me tiennent à cœur: l’humanitaire, le droit des enfants, la protection de l’environnement, le sport et la santé.


Outre mes intérêts linguistiques et culturels, je pratique le CrossFit depuis bientôt dix ans, un simple hobby qui s’est rapidement transformé en style de vie, puis en métier ! En effet, je propose des services d’interprétation de liaison lors de séminaires sportifs, ce qui me permet de lier ma passion et mon travail.
De plus, je donne des cours en tant que coach dans une salle affiliée en Suisse romande, où nous œuvrons tous les jours pour améliorer la santé mentale et physique de plusieurs centaines de membres.

 

Et si vous googlez mon nom pour en savoir plus à mon sujet, vous tomberez certainement sur un discours que j’ai donné aux côtés d’une amie et compagne de bénévolat à la Croix-Rouge dans le cadre des Geneva Peace Talks aux Nations Unies, dont le thème est : la paix commence chez soi ! 
 

Maintenant que vous en savez plus à mon sujet, parlez-moi de vous et de vos besoins !

Pourquoi Babelle ?

Le nom propre Babel fait référence à un mythe biblique expliquant la création des langues. Dans cette histoire, les hommes commencèrent à construire une tour dans le but d’accéder au ciel. Mais ce dessein orgueilleux fut arrêté par Dieu, qui dispersa les hommes sur toute la surface de la terre et leur attribua à chacun une langue différente. Ainsi, ils ne purent plus communiquer pour construire la tour. L’orthographe choisie me permet de fusionner ce mythe et mon prénom, Isabelle.

Cette histoire biblique m’inspire, car elle prouve que l’impossibilité de communiquer nous empêche de collaborer et de parvenir à nos objectifs. Aussi les traducteurs sont-ils un pont qui met en lien des personnes, des organisations, des entreprises, pour que celles-ci réalisent de grandes choses.

Travaillons
ensemble

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